Les primo accédants

Devenir propriétaire, tout de suite entré dans la vie active ! est ce judicieux de partir à fond dans l’acquisition de sa résidence principale ?

Devenir propriétaire en France ? est ce dans les gènes ?

Est ce une généralité qui pense ainsi ? d’après les médias 75% des français espèrent acheter son logement . L’ investissement locatif à choisir avant la résidence principale peut paraître original. En effet, on peut être bloqué par une difficulté d’accès à la propriété de sa résidence principale. Commencer par un investissement locatif , s’explique quant à devoir se déplacer fréquemment pour son travail, ou seulement habiter dans un logement de fonction, par exemple.

Réaliser son investissement immobilier

Comment en signant son contrat d’embauche et pour ainsi dire en même temps, pourquoi aborder la signature du contrat du projet immobilier convoité. Sans chercher à enjoliver, ce projet de vie n’est pas acquis à tout le monde.

2018, montre la baisse du nombre des primo accédants , ceci à cause, dans son ensemble à la réforme des aides réservées aux zones dites tendues. Nous serions descendus au dessous des 60% dans les jeunes générations. Observations à rapprocher depuis la baisse massive des taux de crédits immobiliers depuis maintenant 3 ans.

D’aucuns, montrent à l’index les contrats d’embauche privilégiés en CDD. Ceux là mêmes retardent les ambitions de notre jeunesse. Ajoutons à celà la problématique de l’ apport personnel qui fait défaut chez les primo accédants. En revanche les banques se montrent fair play quand le profil de carrière du jeune candidat est bien lancé.

Le prêt à taux zéro apporte la solution pour le manque de l’ apport personnel, pratiquement dans sa totalité. Cette population séduit, les courtiers immobiliers en premier, qui sont friands pour les primo accédants. La relation bancaire avec l’intermédiaire n’y est sans doute pas étrangère.

Réellement, le milieu social est à prendre en compte, même si les enfants des clients des banques ne copient plus leurs parents.Les us et les coutumes changent.

Propriétaire ou locataire ?

A suivre un certain mode de vie, le jeune primo accédant qui sait faire ses comptes ne tarde pas à vérifier ce constat : investir pour soi en scrutant la courbe du marché immobilier, est un des atouts de la bonne gestion.

Aujourd’hui un prêt de 100.000€ que l’on rembourse sur 240 mois affiché dans la fourchette de 1.5% tournera au final autour de 115.900€ de remboursement global. Rien à voir avec les années 80 où l’on remboursait quasiment deux fois le nominal du prêt. De plus, le plaisir de ne pas payer un loyer pour rien, compte beaucoup dans la balance.

Comparer les règles comptables de l’entreprise à du bon ! il suffit de se rapprocher de l’équilibre financier, de l’harmonie ! En effet, quoi faire de mieux que d’épargner dans l’immobilier, alors que cette épargne vous accompagne votre vie durant. De prime abord, l’acquisition en fonction des moyens et de la taille de la famille, le primo accédant sera bien avisé de ne pas voir trop grand tout de suite.

Il existe une possibilité en comparaison de sa capacité de remboursement. Etudier un agrandissement ou peut être quitter le domicile par vente et achat, en vue d’un logement plus grand.

Une épargne logée dans le patrimoine immobilier, présente une certaine sécurité. Toutefois, on ne sait pas de quoi demain sera fait, le marché du travail, les projets immobiliers des villes ou des quartiers, sont une énigme à venir. Chaque municipalité élabore des projets sous forme de probabilités.

Quels crédits immobiliers demander ?

Les jeunes travailleurs présentent malgré tout un avantage non négligeable, avec l’assurance emprunteur. Le risque sanitaire des jeunes est plus minime que les autres tranches d’âge.Aussi les organismes prêteurs ne prennent pas de risque à offrir des prêts principaux d’une durée qui peut courir pendant 30 ans. Accéder à la propriété en préférant la maison individuelle adaptée à la situation des emprunteurs, ne rebutent pas les organismes financiers, bien au contraire.

Au regard d’un jeune, la banque au profil de carrière d’abord, et suivent les équipements dans la propriété en devenir. La première voiture, autant de besoins qui procure l’épargne et le crédit des banques.

Dans ce domaine, les banques (la plupart) offrent un petit prêt sympa de 10 à 15.000 €uros à zéro % pour se lancer.

La banque offre un choix conséquent de services annexes qui favorise les ventes additionnelles, assurances, prévoyance et IARD.

Maison, implantation, proche des entreprises, comment choisir ?

L’accession sociale est aidée, notammentdans les villes suburbaines. Pour ainsi dire l’ accession sociale est distribuée de ci de là dans des lotissements suffisamment étendus, de façon à rendre le vivre ensemble acceptable. Certaines communes encouragent l’investissement de jeunes en leur aménageant des terrains à construire. La taxe foncière est une préoccupation dans le choix de la commune aussi. Le projet immobilier variera d’une commune à l’autre, la réalisation de travaux aussi, même les frais de notaire connaissent une certaine concurrence.

Les estimations jouent avec l’offre et la demande, conséquence directe de regarder avec attention de tous côtés dus à l’environnement, aspect économique, et industriel. Une entreprise qui ferme décompose le marché immobilier.

Comme il est facile d’imaginer, l’ accession à la propriété se prépare de longue date. Le plan de financement est un élément déterminant mais à prendre dans un ensemble , quant au moment de choisir la commune en projet. Le prêt immobilier aujourd’hui connait son taux le plus bas, un record . Néanmoins faire appel à un courtier en crédit immobilier, profite à vos réflexions ainsi posées, lui qui réside dans la localité, équipé de son partenariat avec les banques régionales

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Les jeunes dit-on sont insouciants, quand on ne leur donne d’autres qualificatifs. Hé bien, il ne s’agit sans doute pas des mêmes qui ont été contactés pour un sondage du marché de l’immobilier. Voici
Devenir propriétaire quand on est jeune.

Trop ringarde la question ?

Et pourtant, la majorité des moins de 30 ans répondent à 90% vouloir devenir propriétaire.
La raison légitimée, ne pas jeter l’argent par la fenêtre « en somme » (même dit autrement) quand il s’agit de rester locataire. 60 à 70 % concernés).
Suivant les professions exercées ou en devenir, on trouve aussi des jeunes qui ont étudié les formules d’investissement locatifs. Certes il ne sont pas nombreux, tout de même.

L’avenir des jeunes ?

Hélas cent fois hélas, depuis les années plutôt reculées (Georges Pompidou, déclarait que le travail était valorisant ….. sans y mettre les moyens …financiers ).                                                                                                   Aujourd’hui le chômage ruine cette génération, sans souffrir trop de la démotivation ambiante. Néanmoins, les contrats de travail à l’heure actuelle, ne sont guère tournés vers l’avenir. Les CDD à répétitions continuent sans modération.

De deux choses,l’une, faut il considérer que le CDI n’est plus, et que le CDD sera la condition de tout salarié ?

Alors, que les pouvoirs publics fassent de la pédagogie pour une fois, traduisent dans le code du travail la nouvelle donne.

Pourquoi rien ne va ?

En effet, si le CDD s’impose au travail, il doit aussi s’imposer dans les droits du jeune citoyen, et lui accorder les mêmes droits que les titulaires des CDI. Ainsi, les jeunes travailleurs ne seraient  pas spoliés par la double peine. Alors que les conditions de financement sont largement favorables aux revenus modestes. Si vous êtes intéressés

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En conséquence, le défaut de CDI prive les accédants immobiliers. C’est déplorables de rejeter un dossier « finançable » au seul motif de défaut de CDI. Le dossier sera mise en veille, quel gâchis !  Les élus ont fait des efforts considérant le droit à l’oubli pour le droit des anciens malades en matière d’assurance, alors que le CDD équivaut au chômeur en responsabilité financière. L’exonère t-on d’impôt pour cause de CDD ? le courage des politiques manque à son devoir!

Nos jeunes rêvent ils ?

Pour toutes les réponses positives ou négatives précédentes, le logement des jeunes, est malgré tout réaliste. A cet égard, ils vivent avec leur temps. Une maison connectée serait le top ! Le besoin de bouger et ne pas avoir de fil à la patte, n’est qu’une minorité 20 à 25% seulement d’entre eux. Alors que l’environnement écologique, énergétique peine à entre dans l’opinion collective, les jeunes y vont à fond. En tout premier, le souci de la planète, de l’isolation thermique s’entend, l’idée sécuritaire les effleure surtout dans les couples formés. Y a t’il un peu d’éducation transmise par les parents, ou une influence nostalgique lorsque d’aucuns parlent de jardin voire de piscine !

J Guidaniel

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