Vivre à deux : sans être mariés
À deux c’est mieux, dit on, alors pourquoi attendre?
Dit Plus simplement, du soi meme qui ne permet pas d’échanger de converser, d’opposer ses points de vue ,on vit en ermite, solitaire, singulier non ?.
On emménage ensemble, vivre à deux commence le pluriel. Une société est créee à partir de deux personnes physiques de préférence. A trois et plus rien ne change sauf les qualifications pour les grandes orientations de société. L’humain serait il grégaire?
Alors à deux, on vit ensemble, c’est aussi une union libre tout est question de se garder de tout engagement. Ainsi vivre à deux ne modifie pas ces principes qui tiennent du bon sens, de vivre ensemble en communauté restreinte en somme. Seulement le week end ? partager les salles de bain, partager les loisirs ne suffisent plus, vivre ensemble coule de source.
Vivre à deux et plus
Vivre a deux, de manière habituelle prend une signification tout d’abord notoire, puis reconnue juridiquement. On passe par des définitions maintenant désuètes comme vivre en concubinage notoire. Maintenant le couple se forme à partir de compagne ou compagnon.
L’organisation d’une communauté tout comme les tribus suivent des us et coutumes qui régissent ces regroupements de personnes.
Sans aller plus loin dans l’étude des peuplades, ce qui m’intéresse serait plutôt de comprendre ce qui motive les individus entre eux.
Mise en commun des goûts et des attirances, des idées, des choix de vie, paraissent naturelles .
Comme chacun sait, notre existence est délimitée par une espérance de vie. Rien de surprenant que l’expérience s’y confonde étymologiquement.
Vivre à deux : pourquoi
La notion de propriété de partage tant dans la propriété intellectuelle que matérielle se doit d’être tracée.Ainsi donner ne peut être repris sans condition préalable.
Ceci dit, l’apparition de réglementation, de législation, de jurisprudence arbitre les divergences entout genre, voire les conflits d’intérêts.
Par conséquent l’organisation de la vie à deux suppose l’union par le mariage. Des droits et devoirs sont consignés dans le code d’état civil. En effet, la vie de couple peut être validée encore faut il prendre les précautions avant de s’engager.
Les amoureux qui convolent en justes noces, n’ont pas nécessairement envisager leur devenir.
De la situation de salaries, un jour par hasard chance ou nécessité, ce même salarié succédera à ses parents à la tête de l’entreprise.Les différentes options du contrat de mariage prévoit ces éventualités, encore est il primordial de l’envisager,avant, et de bien choisir ce contrat.
Vivre à deux ou non ?
La est bien là question tes défauts sont à mes yeux autant de qualités à améliorer me disais tu?
Pourquoi, n’en serait il plus vrai encore. Aller, inutile de disséquer ce qui était alors que tout démontré que les choses ont bien changé.
C’est compris la séparation est l’ultime résolution. Toutes les chansons qui ont traité cette tragédie ont fait des droits d’auteur autour de ces langueurs les beaux jours des éditeurs de disques.
Ainsi en est il ? Comme une mode s’épuise au profit de la ringardise, le costume trois pièces au profit du jean, le vintage saura souffler sur la cendre du passé jusqu’aux braises conservées pour tout recommencer.
Bien entendu les qualités son devenus autant de défauts la paille dans l’œil du conjoint l’aveugle désormais. Le recours au bon sens serait faire mieux que rage et encore mieux que de quérir les services d’un avocat. Reprocherait-on la guerre à un marchand d’armes ?
Vivre à deux : irreversible ?
En matière de droit, un avocat me disait sous forme de boutade : les paroles s’envolent mais les écrits restent.
Cet adage traverse le temps,surement. Combien de cas sont remis en cause faute d’avoir penser l’avenir. Je ne dis pas prévoir ce serait trop compliqué.
Et maintenant que dire, du retour en arrière, des regrets.
Si intelligence”artificielle” pouvait suppléer la bonne intelligence tout court, que de procès écourtés voire annulés. Le législateur dans un souci de voir les tribunaux désertés a cru bon d’instaurer le divorce par consentement mutuel.
Hélas, cent fois hélas, quand les enfants de témoins involontaires passent interprètes, puis deviennent trop souvent otages, quand le saladier tout à coup vaut mieux que son poids d’or.
Le chantage attisé par la présence de deux avocats (obligatoires en cas de divorce par consentement mutuel …. un contre sens ), ne fait que déplacer le problème à l’extérieur des tribunaux. Le divorce représente un commerce à tous les niveaux. Doubler les appareils électroménagers, les lits etc hambres des enfants, occuper deux domiciles séparément, avec le sentiment d’un immense gâchis mijoté, consommé.